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Je ne sais quel frisson de souffrance amoureuse
Passe de l’orchidée aux chaudes tubéreuses,
Et montant au-dessus des cèdres exaltés
Semble atteindre, là-haut, les golfes solitaires
Et faire tressaillir dans leurs cirques d’Été
Les Centaures cabrés en proie au Sagittaire.