Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/118

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Allons, sous ton foulard luisant qui colle aux tempes
       Comme une autre peau sur ta peau,
Ô vieille que Goya sous l’or fumeux des lampes
Eût mêlée à ses nains comme un riche crapaud,

Pustuleuse, accroupie ainsi sous la cuirasse
       De ton gorgerin trop brodé,
Livre-moi longuement ce visage, — ridé
Comme le monde immense où chemine ta race !