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les yeux clos, sur la terre humide. Enterrez-moi, enterrez-moi avec lui ! Versez de la terre dans mes yeux ! Clouez des planches d’érable sur ma blanche poitrine ! À quoi bon maintenant ma beauté ?

Elle pleure et se frappe.

Mais tout l’horizon se couvre d’un nuage de poussière : c’est le vieil essaoul Gorobietz qui arrive au secours.