les gros os rongés, que dévore à la cuisine notre Polkane. Je n’aime, en fait de gros os, que ceux de gibier, et encore quand personne n’en a sucé la moelle. Il est très bon de mélanger avec un peu de sauce, mais sans câpres ni légumes ; mais je ne sais rien de pire que l’habitude de donner aux chiens des boulettes de pain roulées. Un certain monsieur, assis à une table, qui a pris dans ses mains toutes sortes de saletés, y pétrit du pain, t’appelle et te fourre la boulette entre les dents. Refuser serait désobligeant, — alors, tu avales, avec dégoût, mais tu avales… »
Le diable sait ce que veut dire cela ! Quelles bêtises ! Comme s’il n’y avait pas de sujet préférable, pour écrire. Voyons une autre page, s’il s’y trouvera quelque chose de plus raisonnable.
« Je suis prête, avec un très grand plaisir, à te raconter tous les faits qui se passent chez nous. Je t’ai déjà parlé du maître, que Sophie appelle papa. C’est un homme très étonnant… »
Ah ! voilà, enfin ! Oui, je le savais ; en eux se trouve une vue politique sur tous les sujets. Voyons sur le papa.
« …un homme très étonnant. Il reste presque