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le faux pèlerin, il était aux aguets dans sa maison; il ne songeait guère à aller à la cour; il n'y comptait pas sur un bon accueil. Suivant sa coutume, ce que le drôle préférait, c'était de jouer ses tours. Et la cour résonnait des chants les plus mélodieux; on offrait sans relâche à boire et à manger aux invités. On se livrait aux jeux du tournoi et de l'escrime. Chacun s'était