impatience. Oui, c’est elle. Oh ! il est insupportable ! (Illit.) «Excellent sei !… »
Alceste, même jeu. Non, monsieur l’hôte ! Sophie !… C’est impossible ! L’hôte. Il s’arrache de ses mains et continue de lire sans lui répondre. « Très-honoré…. »
ALCESTE.
Elle aurait fait cela ? Je suis confondu.
L’hôte. <c Monsieur. »
ALCESTE.
Écoutez-moi donc ! Comment la chose s’est-elle passée ?
L’hôte. Je vous le conterai après.
ALCESTE.
C’est donc certain ?
L’hôte. Certain.
Alceste, à lui-même, en sortant. Maintenant, je pense, cela ne peut manquer.
SCÈNE IV.
L’HÔTE, seul.
« Et protecteur…. » Est-il sorti ? « La grande bonté qui m’a pardonné tant de fautes, me pardonnera, je l’espère, encore cette fois…. » Qu’y a-t-il donc à pardonner ? « Je sais, trèshonoré monsieur, que vous voue réjouirez avec moi. » Bien, bien ! « Le ciel m’a dispensé aujourd’hui un bonheur, à l’occasion duquel mon cœur reconnaissant pense d’abord à vous. Il a délivré ma chère femme de son sixième fils !… » Je suis mort…. « 11 est arrivé ce matin, le garçon. » Vilain marmot !… Oh ! noyez-le ! étranglez-le !… * Et votre bonté m’enhardit, moi, pauvre homme…. » Ah ! je suis près d’étouffer ! Faut-il que, dans mes vieux jours, pareille chose m’arrive ? C’est insupportable.