Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/75

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le rouge leur montait au front,
Et l’un sur l’autre, dans le rond,
Ha ! ha ! ha !
Landerira !
Tous tombaient à la file.

— Ne me touchez donc pas Ainsi !
— Paix ! ma femme n’est point ici,
Profitons de la circonstance ! —
Dehors il l’emmène soudain.....
Et tout pourtant allait son train,
Ha ! ha ! ha !
Landerira !
La musique et la danse.


UN VIEUX PAYSAN.

Monsieur le Docteur, il est beau de votre part de ne point nous mépriser aujourd’hui, et, savant comme vous l’êtes, de venir vous mêler à toute cette cohue. Daignez donc prendre la plus belle cruche, que nous avons emplie de boisson fraîche ; je vous l’apporte et souhaite hautement non seulement qu’elle apaise votre soif, mais