Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/259

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
VALEINTIN.

Pare donc !

MÉPHISTOPHÉLÈS.

Pourquoi pas ?

VALENTIN.

Et celle-ci ?

MÉPHISTOPHÉLÈS.

Certainement.

VALENTIN.

Je crois que le diable combat en personne ! Qu’est-cela ? déjà ma main se paralyse.

MÉPHISTOPHÉLÈS, à Faust.

Poussez.

VALENTIN tombe.

Ô ciel !

MÉPHISTOPHÉLÈS.

Voilà mon lourdaud apprivoisé. Maintenant, au large ! il faut nous éclipser lestement, car j’entends déjà qu’on crie au meurtre ! Je m’arrange aisément avec la