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heures durant, pendant une nuit de novembre, au sommet d’une cheminée d’une dame russe que j’idolâtrais. J’en ai failli avoir l’entreprise du ramonage de toute la ville, quand, le lendemain, à l’aube, les bourgeois matineux admirèrent ma prestance.

C’est ainsi que Wilfrid Nore acheva son histoire, et, Conrad Lanze, prenant la parole, raconta la sienne.