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Il reste seul dans sa bizarre solitude,
Et ne conçoit jamais la moindre inquiétude
De nos quatre repas !

Et cela me rend triste, et jette un seau d’eau froide
Sur ma pine, naguère impérieuse et roide
Mais dressant à moitié
Votre corps dans les draps dont la chaleur lui pèse,
Vous m’appelez : alors, j’arrive, et je vous baise…
Buloz est oublié !