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En secouant ses rimes,
Voudra des cris sublimes,
Il te demandera,
T’appellera !
Tu viendras, belle et nue,
Dans ta pose inconnue
À ceux qui n’osent pas
Suivre tes pas,
Dans ma strophe éblouie,
La lèvre épanouie,
Avec cet air mourant
Qui rend plus grand.
(Patte-de-Chat, mai 1860.)