Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/31

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


J’ai, dans son vagin exsangue
Fourré mon nez et ma langue :
Je l’ai branlée, et j’ai mis
Ma pine chaude et robuste
Au fond d’un cul de Procuste,
Qui ne te fut point permis !

Sur l’une et l’autre mamelle
De cette jeune chamelle.
Comme le tambour Legrand[1]
J’ai souvent battu la charge,
Et mon vit à tête large
Prit sa bouche en conquérant.

Au retour des cons où j’erre,
J’ai mis, pour ta ménagère,
Dans les poils de la putain,
Des morpions par centaines,
Vengeurs aux minces antennes,
Que tu cueillais au matin.

Où ta pine dérisoire,
Antique et lâche accessoire

  1. HENRI HEINE. Reisebilder.