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Qu’il contemplait, s’en pensant
L’unique propriétaire !

« C’est pour cela seulement,
Ô ménageresse extrême,
Pour avoir pris un amant,
Ô bourgeoise ! que je t’aime.

« Pour avoir, dans ce vieux front
Gercé de mille crevasses
Que les ennuis accroîtront.
Planté deux cornes vivaces !

« Parce qu’un sperme offensant
Monte jusqu’à sa narine,
Même du vase innocent
Où tu verses ton urine !

« Femme pleine de vertus,
Va, la tâche est terminée :
Va ! comme le bon Titus,
Sois fière de ta journée ! »