mars 1736, doyen du parlement de Bourgogne. M. Lantin prononça son éloge.
Plusieurs des ancêtres de M. Pouffier avoient été doyens des Cours souveraines de Dijon ; il voulut rendre cette place honorable et recherchée, et engager, par un surcroît de fortune, les magistrats à continuer jusqu’à leur mort l’exercice de leurs fonctions, parce que c’est lorsqu’ils ont vieilli sous la pourpre, que leurs services et surtout leurs conseils sont plus utiles à la chose publique. En conséquence, par ses dispositions olographes des 1.er octobre 1725, 20 juin 1726 et 10 mars 1732, il donna à perpétuité au doyen des conseillers au parlement, sa maison de la rue Vert-bois, avec les principaux meubles qui la garnissoient ; sa terre d’Aizerey, ses domaines de Sennecey et Magny-sur-Tille, et une somme de 40,000 fr. payable dans l’année de son décès.
Mais M. Pouffier voulut que ces libéralités servissent en même temps à