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ma i, · ; ; —·çnçe ;·r xiyzasrsrtrxeus q regarda la voiture avec défi, y découvrit plus amoureux, s’attrista. Puis il y eut l’épisode du général qui lançait sur l’accotement des cailloux W à son fox, l’atteignit à la tête, le fît hurler. De grandes machines battaient la Seine ; on pensait à des barettes, —à un fleuve de lait, de creme. Puis l’¤uto abandonna la route de halage, tourna à angle droit vers une forêt, monta, ne fut plus à la remorque que d’un ballon, et, dans une clairière inondée de lumière, s’arréta. Frauken descendit la première, ensoleillée ju•qu’à la ceinture ; nous pouvions la suivre, on avait pied. A Gabrielle s’élança dans le fourré ; je la poursuivis. J’avais les vêtements, le col, les souliers où je me sentais le plus cà l’aise. Je reconnaissais la robe, Pombrelle qu’elle préférait. Nous étions enveloppes par les couleurs que nous aurions choisies si, le matin, on avait annoncé que la forêt dût nous changer en scarabées, en arbrisseaux. Nous avions la tenue que nous ~· aurions exigée s’il avait fallu, pour sauver un ami d’un tyran lunatique, traverser le Niagara

sur la corde tendue. De quel pas assuré nous

foulions cette terre si large et cette mousse ! Nous " 1 courions, nous n’étions pas hors d’haleine. Nous à faisions à pied la course que les amoureux plus A I