tremble à l’idée des paroles qu’arracheront à Ondine ces spectacles où chaque passe, chaque figure de manège, chaque volte a son nom. Je l’instruis, mais sans succès. À chaque terme technique, à chaque mot nouveau pour elle, elle m’embrasse. Il y en avait trente-trois rien que dans la première prise de lance que j’essayais hier de lui enseigner.
Trente-quatre !…
C’est ma foi vrai : avec le dégagé du col, trente-quatre ! Où avais-je la tête ! Bravo, Bertha !
Vous vous êtes trompé d’un baiser… Confiez-moi Ondine, Hans. Avec moi, ce danger ne sera pas à craindre. Et je sais la joute et la vénerie.
Ce qu’elle doit connaître surtout, Bertha, ce sont les particularités et les privilèges des Wittenstein, et ce sont des secrets.
Ils ont presque été les miens. Interrogez.
Si vous répondez, je vous dois un gage ! Quel-