Cette page a été validée par deux contributeurs.
FONTRANGES AU NIAGARA
pauvre malade qui lui avait permis, grâce à ce tiers de souffle qui l’agitait encore, de lutter sans mentir pour la cause de la vie immortelle chez les fils. Si l’on avait pu le sauver, pour compléter la preuve ? Mais par quel remède ?
— Such a noise ! répéta l’enfant.
Les remèdes qu’imaginait Fontranges étaient toujours appropriés aux circonstances, c’est-à-dire bien peu appropriés aux hommes. Alors qu’il savait
35