Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/61

Cette page n’a pas encore été corrigée


Regards pleins d’autres yeux, lèvres sous d’autres bouches.
Silencieux tourment de mes lèvres farouches,
Muette volupté de mes yeux envieux !

Regarder tous ces yeux dans tes prunelles vides,
Baiser tous ces baisers sur tes lèvres avides,
O l’amour de ma bouche et la peur de mes yeux !