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Mais prenez garde, vous, ma gloire et mon souci,
Prenez garde, vous tous qui m’avez adouci
Jusqu’à cette douceur et cette peur de vivre,

De voir se révolter ce cœur qui vous enivre
Et la haine en jaillir, comme un glaive irrité
D’un fourreau de candeur, de joie et de bonté !