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Elles dorment ainsi, muettes, invisibles ;
Et nous, les derniers nés de ces siècles paisibles,
Si nous nous rappelons leur charme insidieux,

C’est qu’il nous fut donné, par miracle, d’entendre
Toutes leurs voix chanter dans ta voix âpre et tendre
Et de voir tous leurs yeux briller dans tes grands yeux !