Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/132

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




ROUGE ET BLANC




Une cruelle et rouge langue,
Aux chairs salivantes de sang,
Comme un éclair érubescent
Sillonne son visage exsangue.

Sa face pâle est une gangue
D’où sort ce rubis repoussant :
Une cruelle et rouge langue,
Aux chairs salivantes de sang.