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MARIE CALUMET.
heureux de Narcisse.
Aussi bientôt, dans tout le village, ce fut un secret de Polichinelle que l’homme engagé de monsieur le curé se pâmait d’amour pour Marie Calumet et que ce brasier ardent, qu’il portait partout avec lui, le consumait lentement mais irrémédiablement.
Chose extraordinaire, la ménagère du curé à qui Narcisse n’avait jamais osé avouer sa passion était la seule à ignorer cette grave maladie. Ses nombreuses réformes, au presbytère et à l’extérieur, n’avaient sans doute pas laissé à Marie Calumet le loisir de s’apercevoir de ce détail, qui avait tout de même son importance.
Et cependant, si elle eût connu l’immensité de l’amour que Narcisse avait