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Les nymphes des forêts, ses compagnes fidèles,
En se pressant lui font cortège ; et l’une d’elles,
La dernière, portant dans ses bras le butin,
Laisse voir deux ramiers qu’elle a pris ce matin.
Et sous les hêtres noirs dont luit l’écorce brune
Brillent dans le ciel clair les cornes de la lune.