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LES HEURES


 
Sous les portiques blancs de l’Olympe neigeux,
Au seuil des augustes demeures,
Auprès des Immortels qui contemplent leurs jeux,
Veille le chœur brillant des Heures.

Elles s’offrent la main, dansent, et tour à tour,
La chevelure dénouée,
Après la sombre Nuit font resplendir le Jour,
En chassant l’épaisse nuée.