Page:Gille - La Cithare.djvu/27

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 
Or, Héraclès s’est tu. Tel qu’un loup frémissant
Il s’arrête. Il saisit un chêne, et dans sa rage
Il le fait éclater sous son effort puissant,
Et, ne pouvant dompter la douleur qu’il ressent,
Il rugit, et son âme est pareille à l’orage.