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Elle n’est plus, hélas ! et j’ai creusé sa tombe
Près des genévriers où pleure la colombe ;
Elle sommeille, ici, sous ce tertre léger.
Si ce hêtre t’abrite, ô toi, jeune berger,
Dont l’âme par ses chants fut si souvent ravie,
Qu’un souvenir ému lui redonne la vie.