Page:Gille - La Cithare.djvu/170

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 
Lorsque sur la montagne il conduit ses troupeaux,
D’un souffle délicat animant ses pipeaux,
À nos voix mêlera sa voix harmonieuse ;
Et nos chants rempliront la nuit mystérieuse.
Ainsi, tous trois couchés sous cet érable épais,
Nous empêcherons Pan de sommeiller en paix.