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éternelles des aventures niaises, et du premier jobard mal inspiré font un spectre terrifiant et gigantesque.

Vermesch, indécis, chétif, timide et bayant aux étoiles, n’aurait pas tué une mouche, comme on dit.

Mettons plus souvent au jour vrai la physionomie réelle des réprouvés de la tradition. Cela, sans doute, ne diminuera pas le mal qu’il ont pu faire ; mais, du moins, éteindrait-on cette auréole de damnés dont l’imagination les affuble, qui est une sorte de gloire aussi, et qui peut tenter les hallucinés de l’avenir.

Un mot de Vermesch pour finir et prouver son inconscience en tant que fauteur du Père Duchêne.

Aux premiers jours de juin, comme les massacres de la répression duraient encore, il était réfugié, rue du Four-Saint-Germain,