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mes lecteurs de cette époque l’ont vu dans le nº 4 de la première année de l’Éclipse, à la date du 5 juillet 1868.

M. Piétri, préfet de police de l’Empire, avait jugé utile et agréable de me laisser ignorer ce détail de son administration, l’existence du Casier judiciaire.

J’avais négligé de lui en faire mes compliments ; j’en saisis l’occasion.

Mille excuses pour le retard.