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Il voit, il sent, il connoit, il respire
Le Dieu qu’il a servi, dont il aima l’empire ;
Il en est plein, il chante ses bienfaits.
L’Éternel a brisé son tonnerre inutile ;
Et d’aîles & de faulx dépouillé désormais,
Sur les mondes détruits le temps dort immobile.


FIN.