Page:Gide - Si le grain ne meurt, 1924.djvu/137

Cette page a été validée par deux contributeurs.

terais pas à la cérémonie funèbre ; pendant que mes oncles et mes tantes, avec maman, suivraient le char, Emmanuèle et Suzanne resteraient à me tenir compagnie. Le bonheur de les revoir l’emportait presque, ou tout à fait, sur mon chagrin. Il est temps que je parle d’elles.