Page:Gide - Les Faux-monnayeurs.djvu/317

Cette page a été validée par deux contributeurs.

« — Tout est arrangé, dit Rachel à son père.

« Celui-ci la baisa sur le front :

« — Tu vois bien ce que je te disais, mon enfant : Dieu n’abandonne jamais celui qui se confie en lui.

« Puis, me tendant la main :

« — Vous partez déjà ?… À un de ces jours, n’est-ce pas ? »