Cette page a été validée par deux contributeurs.
tionne un gâteau monumental que Sarah agrémente de je ne sais quels ornements de papier doré. Nous l’attendons pour ce midi.
J’écris pour user cette attente. Il est onze heures. À tout moment je relève la tête et regarde vers la route par où la voiture de Martins doit approcher. Je me retiens d’aller à leur rencontre : mieux vaut, et par égard pour Amélie, ne pas séparer mon accueil. Mon cœur s’élance… ah ! les voici !
28 au soir.
Dans quelle abominable nuit je plonge !
Pitié, Seigneur, pitié ! Je renonce à l’aimer, mais, Vous, ne permettez pas qu’elle meure !
Que j’avais donc raison de craindre ! Qu’a-t-elle fait ? Qu’a-t-elle voulu faire ?