ressemblais à ma mère, précisément alors c’est à elle que je pensais.
J’ai très mal dormi cette nuit, inquiète, oppressée, misérable, obsédée par le souvenir du passé qui remontait en moi comme un remords.
Seigneur, enseignez-moi l’horreur de tout ce qui a quelque apparence de mal.
Pauvre Jérôme ! Si pourtant il savait que parfois il n’aurait qu’un geste à faire, et que ce geste parfois je l’attends…
Lorsque j’étais enfant, c’est à cause de lui déjà que je souhaitais d’être belle. Il me semble à présent que je n’ai jamais « tendu à la perfection » que pour lui. Et que cette perfection ne puisse être atteinte que sans lui, c’est, ô mon Dieu ! celui d’entre tous vos enseignements qui déconcerte le plus mon âme.
Combien heureuse doit être l’âme pour qui vertu se confondrait avec amour ! Parfois je doute s’il est d’autre vertu que d’aimer, d’aimer le plus pos-