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ses faibles contemporains, et se plaça, après un intervalle de trois cents ans, au nombre des poètes de l’ancienne Rome[1].
fin du tome cinquième.
- ↑ Strada (Prolusion, V, VI) le place en concurrence avec Lucrèce, Virgile, Ovide, Lucain et Stace. Balthasar Castiglione est son grand admirateur. Ses partisans sont très-nombreux et fort passionnés ; cependant les critiques sévères lui reprochent une profusion de fleurs exotiques et trop abondantes pour le dialecte latin.
a composé en grec les antiquités de Tarse, d’Anazarbe, de Béryte et de Nicée, etc. Il est plus aisé de remplacer la perte d’une belle poésie que celle d’une histoire authentique.