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Histoire de Dom B…


ration, & chacun félicita Mariamne, ſur le plaiſir qu’elle alloit avoir : elle en paroiſſoit enchantée ; alors le Pere Caſimir impoſa le ſilence à toute la troupe, & après avoir auſſi complimenté ſa Niéce ſur l’acquiſition qu’elle venoit de faire, il m’adreſſa la parole ; Pere Saturnin, me dit-il, diſpoſés de Mariamne, je vous en ferois l’éloge, ſi vous ne la voyés pas, & vos deſirs le font mieux que je ne le pourrois faire. Vous lui trouverés la peau la plus douce les Tetons les plus durs & les plus mignons, le Con le mieux formé, elle va vous donner tous les plaiſirs imaginables ; mais ces plaiſirs ſont à une condition, elle ne ſera pas plus mauvaiſe pour vous qu’elle l’a été pour ces Peres. Ah, lui repondis-je, tranſporté d’amour ! Quelle eſt-elle cette condition, que faut-il donner, mon ſang ? Non : quoi donc ? Votre Cul : mon Cul ! Hè que diable en feriés-vous, Pere ? Oh, repondit-il, c’eſt mon affaire. L’envie d’être bien-tôt ſur Mariamne, fit que je n’inſiſtai pas ſur la propoſition du Pere. Je me mis bien-tôt en devoir d’enconner ma charmante, & mon Bougre de m’enculer : elle ſe coucha ſur le banc qui nous ſervoit de ſiége ; & je m’éten-

dis