Page:Germain - Les Clouet, Laurens.djvu/124

Cette page n’a pas encore été corrigée
120
LES CLOUET.

lih’s. oïl scrail Icnh’de « lue des vertus, loutre les iii ; iiiis (le I ; ii-list(’, il est beaucoiij) j)lu.s olK’issanl (jiic les hrosscs ; la main le discipline et le dirii^^e à souliail, lanh’)| 1 a| » |uivanl sur le papier eoinnie une pointe d’acier sur le cuix ic. lantôt le faisant évoliiei" dans une savante stratégie coniuie un pinceau leycr. iJeuiandez-lui des traits i^uoureux. incisifs, ou de suaves indications, de larges modelés, des contrastes j)uissants ou des accords d’analogues, d’im})lacaldes perspectives ou de vaporeuses (’vocations:employez-le à retracer des drames lugubres ou de sei’eines visions. Ihumanil (’ou la natui’e sous leurs plus divers aspects, il n’est rien ([u il ne mène à bien si vous savez le conduire. Toutes les souplesses, toutes les fermetés, tous les charmes, il les possède; tous les modes d’exprimer, de l’alerte au nsajestueuN, il les pratique : tous les effets, tous les caractères, il les reproduit acc une bonne Nolonti’-. un loyalisme, (jue rien ne rebute. 11 est Prot(e, et il est fée. A cei’tains moments, on le croirait pai’tie int(’grante de la main : sous les impidsions de Tesprit. il conlMUie le traxail des doigts. 11 seud)le, tant persistent son zèle et sa docilité. (|u il xcuillc (’ollaborer ; i l’onivi’e de son maiti’e, de son guide. De lait, il en (’pousc li’s ardeurs et la liè re : les phalanges (|Mi li’l reigiicnl le sentent maintes fois IVé’nur. I n imaiiiiiatil pourrait se surprendr<’à lui prt’tei’de I intidligence. La brosse tient de la truelle, elle permet des labeurs solides mais restreints, le plus -lui)se Ars penilres ne rt’ussil pas toujours il la plier <à sa x’oloiiti : et iiK’ine ipiand il la maîtrise, il ne la eliange pas en calaiiie. La lii’osse est un ser-