avoir fait perdre ; sur quoi Navier, à son tour,
écrit : « On a généralement accordé quelque estime aux efforts qui ont eu pour résultat d’établir les principes et les formes analytiques au moyen desquels une classe particulière de
phénomènes était, pour la première fois, soumise à l’empire du calcul. Quant aux observations de M. Poisson, d’après lesquelles il ne
serait pas permis de représenter les forces résultant des actions moléculaires par des intégrales définies, nous ne partageons pas cette
opinion[1] ». C’est ensuite, dans les Annales de Crelle, à Berlin, un Mémoire sur la courbure des surfaces[2]. C’est enfin, dans ces mêmes Annales, une note sur la manière dont se composent les valeurs
y et z dans l’équation 4 (xp — 1) / (x — 1) = y2 ± pz2,
et celles de Y’ et Z’ dans l’équation
On sait que, réfugiée alors dans son cabinet