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239[1] une faible partie de la justice que je vous rends, Mademoiselle, et qui vous est due à tant de titres. Je serais trop heureux si vous vouliez présenter à Mademoiselle votre sœur et agréer l’hommage de l’admiration et du respect avec lequel je suis, Mademoiselle, votre très humble et très obéissant serviteur,

d’Ansse de Villoison.



IV

LE MÊME À MADAME GERMAIN


Ce lundi soir à minuit, 12 juillet 1802.

Madame, je trouve en rentrant la lettre dont vous m’honorez et m’empresse de vous donner sur-le-champ ma parole d’honneur que vos ordres et ceux de Mademoiselle votre fille sont déjà ponctuellement exécutés ; que j’ai brûlé ma pièce

  1. Publiée d’abord dans le Magasin encyclopédique (1802, VIIIe année, t. I), cette pièce de vers parut une seconde fois dans la Bibliothèque française, avec une addition de quatre vers.