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découvertes alarmantes
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incrusté de coquillages, peut-être l’épave d’un naufrage au milieu de l’Atlantique.

Je suis heureux, le ciel est de nouveau clair, j’ai retrouvé les vents alizés et me vois déjà près de la côte d’Amérique, quand je fais soudain une découverte alarmante. La plus grande partie de ma réserve d’eau douce est devenue imbuvable.

À mon départ de Gibraltar, j’emportais trois cents litres d’eau douce contenus dans deux réservoirs en fer galvanisé et trois barils de chêne. Ayant épuisé l’eau de mes réservoirs en fer, je découvris que l’eau de mes deux barils de chêne avait pris une teinte rouge sombre, était devenue saumâtre et, même bouillie et filtrée, absolument imbuvable. Ces deux barils étaient construits en bois trop neuf et l’acide tan-