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Gabrielle, n’en demandant pas davantage et remontant.
L’ammoniaque, bon !
Petypon, vivement.
Hein ? Ah ! non ! (Bas à Mongicourt, pendant que sa femme, arrêtée par son cri, revient vers lui.) Tu veux me faire prendre de l’ammoniaque !
Mongicourt, ayant pitié de l’affolement de Petypon.
Mais, actuellement, votre mari est dans la période décroissante…
Gabrielle.
Ah ! tant mieux !
Mongicourt.
Des tisanes, du thé avec du citron ; voilà ce qu’il lui faut !
Madame Petypon, remontant, empressée.
Je vais tout de suite en commander.
Mongicourt, blagueur, à Petypon.
N’est-ce pas ?
Petypon, à mi-voix, sur un ton de rancune comique, à Mongicourt.
Oui, oh ! toi, tu sais !…
Madame Petypon, qui s’est arrêtée en chemin, se tournant vers Petypon.
Ah ! qui m’aurait dit que tu te réveillerais dans cet état, quand ce matin tu dormais d’un sommeil si paisible ! (Petypon, stupéfait, tourne un regard ahuri vers Mongicourt.) Tu n’as même pas senti quand je t’ai embrassé.