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Petypon, le poussant vers la porte de sortie.

Allez, descendez ! Quelque chose à prendre ! je vous rejoins !

Le Général.

Bon, bon, mais ne sois pas long, hein ?

Petypon.

Non, non ! (Une fois le général sorti, descendant jusque devant le canapé.) Mon Dieu ! je ne peux pourtant pas la laisser dans cet état pendant toute mon absence !

Étienne, paraissant et s’arc-boutant à la porte pour retenir le balayeur qui veut entrer quand même.

Mais, attendez donc, mon ami ! je vais le dire à monsieur !

Le Balayeur, par-dessus l’épaule d’Étienne.

Mais, puisque je vous dis qu’il m’attend !… (À Petypon.) Bonjour, m’sieur.

Petypon.

Quoi ? Qu’est-ce que c’est ? Laissez entrer !

Le Balayeur, à Étienne qui s’efface pour lui livrer passage.

Là ! quand je te disais !

Étienne sort.
Petypon.

Qu’est-ce que vous voulez ?

Le Balayeur, se découvrant tout en descendant vers Petypon.

C’est moi ! le balayeur de la rue Royale !