Page:Georges Ducrocq - Pauvre et Douce Corée.djvu/51

Cette page a été validée par deux contributeurs.






C’est aussi la nuit que se font les enterrements. La ville en est avertie à la tombée du jour par un va-et-vient de lanternes extraordinaires : l’usage est de louer des figurants pour grossir le cortège ; des porteurs de lanternes, les unes en