Page:Georges Ducrocq - Pauvre et Douce Corée.djvu/31

Cette page a été validée par deux contributeurs.






Avec si peu de ressources le Coréen est heureux. La rue lui offre de quoi se distraire. Le matin, arrivent de la campagne, poussant leurs taureaux, les paysans qui viennent vendre à la ville leur charge de bois ou de légumes. Ils stationnent sur