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mais j’ai voulu que mes peuples fussent avertis… je ne crains pas que l’Asie le soit. »

L’empereur termina là son discours, et d’un geste il congédia l’assemblée.

Cette nouvelle de la guerre d’Asie était inattendue, et pénétra la foule d’admiration. Les acclamations et les applaudissements succédèrent à ces paroles extraordinaires, et elles accompagnèrent jusqu’à son palais l’empereur, qui, avec son cortège, reprit le chemin des Tuileries.