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quait une lutte. On supposa qu’il s’était suicidé, car on ne lui connaissait pas d’ennemi, et les blessures étaient par devant. D’ailleurs, cet événement de peu d’importance ne sortit pas de la caserne et du rapport du lieutenant au colonel.

On ne savait rien de plus sur cet homme. Les rois, en apprenant sa mort, se turent sur les événements de cette journée, et le temps reprit son cours comme s’il n’y avait pas eu de sang versé.