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gnements à peu près exacts sur le sort et la fin malheureuse de notre compatriote. Ils savaient qu’on l’avait exécuté en place publique, mais ne pouvaient donner aucun détail précis sur ce qu’on avait fait de sa dépouille mortelle ; car, prisonniers eux-mêmes, ils n’avaient pu être témoins de sa mort qu’ils n’avaient apprise que par des indiscrétions de domestiques ou d’esclaves.


intérieur du palais de rabah à dikoa.

Dikoa était donc évacué ; mais Fad-el-Allah ne devait pas être très loin, car sa marche, alourdie par les bandes nom-