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Enfin, pour clore cet avant-propos, il me reste non-seulement à rendre hommage au gouvernement qui ne cessa pendant de nombreuses années de me témoigner la plus vive sollicitude, mais encore il est indispensable, et c’est pour moi un agréable devoir, de dire combien je suis reconnaissant à cette admirable association qui s’appelle le Comité de l’Afrique française, et à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres de l’appui moral et du concours financier si large que toutes deux ont bien voulu me fournir.
Émile Gentil