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sa que ces lectures n’étoient pas sans quelqu’intérêt pour lui ; elle eut la curiosité de questionner, à cet égard, la marquise de G***, parente et amie de M. de Melun, et elle apprit, avec un dépit mêlé de chagrin, que M. de Melun avoit toujours eu l’habitude, non d’écouter ces lectures, dit madame de G*** en riant, mais d’y assister. Il préfère notre cabinet, continua la marquise, à la bruyante salle de billard, et au salon qui, à cette époque de la journée, n’est occupée que par les joueuses de cavagnole ; il trouve