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Cependant la maladie de monsieur de Melun ne fut ni dangereuse ni longue, mais sa convalescence donna de vives inquiétudes ; une toux opiniâtre fit craindre pour sa poitrine, qui parut sérieusement attaquée. Mademoiselle de Clermont consulta, sur l’état de monsieur de Melun, son médecin, qui déclara que le malade ne pourroit se rétablir qu’en passant l’hiver dans les provinces méridionales. Aussitôt mademoiselle de Clermont écrivit à monsieur de Melun, pour exiger, positivement, qu’il partît sans dé-